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Les 23 villages

Les villages de la commune

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Vielsalm compte 23 villages présentés ci-dessous. Le promeneur pourra aussi goûter au calme surprenant de quelques hameaux et écarts tels que les Petites-Tailles, Quartiers, Bécharprez, Tigeonville, Mont-le-Soie, Sart-Hennard, Les Taillis, Blanchefontaine.
 

Situation des villages sur la commune
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Cliquez sur le village de votre choix pour y accéder directement :

Bihain - Burtonville - Bêche - Cahay - Commanster - Dairomont - Ennal - Farnières - Fraiture - Goronne  - Grand-Halleux - Hébronval - Joubiéval - La Comté - Neuville - Ottré - Petit-Thier - Provedroux - Regné - Rencheux - Salmchâteau - Vielsalm - Ville-du-Bois

 

  

Bihain
 

Bihain_fagnes.jpg Bihain, proche de la grande Fagne du plateau des Tailles, semble endormi sur une pente douce. Ce fut pourtant le siège d’une seigneurie et un centre "industriel" avant la lettre : extraction de tourbe, de minerai de fer et de manganèse ; il ne reste plus que le souvenir de ce qui fit connaître ce petit village.

 

Burtonville
 

Burtonville était agricole. Quelques fermes, parfois imposantes, sont toujours là pour nous montrer leurs murs d’arkose. D’autres, modernes, gardent au paysage sa vocation d’élevage. Proche du village : un immense ensemble de bâtiments abrite des usines travaillant le bois. Celles-ci sont des plus modernes.

 

Bêche
 

On vient à Bêche, on ne le traverse pas ! La route ne "va pas plus loin". C’est peut-être la raison qui incite à flâner dans les environs entre le Grand Bois et le thier des carrières. Une cure de grand air garantie !

 

Cahay

 

Cahay, qui abrite aujourd’hui une entreprise de travail adapté, était le noyau de l’exploitation ardoisière : c’est vers là que convergeaient les chemins d’exploitation.

 

Commanster

 

commanster_Chateau.jpg Commanster nous apparaît aujourd’hui comme un village agricole, dans une vaste clairière du Grand-Bois. Il fut pourtant lelieu de séjour de personnages fortunés : il suffit de visiter le "Vieux Château" pour s’en convaincre. Certaines trouvailles récentes font penser à une occupation du lieu déjà au temps des Romains.

 

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Dairomont


Dairomont, à la pointe nord de la commune, regarde déjà vers Stavelot. Saint-Jacques avec son chemin de pèlerinage n’est-il pas tout proche ?
 

Ennal


Ennal, isolé dans une petite vallée, fait un peu figure de "bout du monde". Pourtant, ses habitants furent parmi les grands voyageurs et commerçants du pays de Salm. Aujourd’hui, l’élevage y reste important.

 

Farnières
 

Farniere_chapelle.jpg
 

Farnières, tout petit hameau, est connu à plus d’un titre : sa chapelle ancienne doit son existence, dit la légende, à une statue de la Vierge qui ne voulait pas quitter cet endroit ; son château, en arkose aux mille couleurs, est devenu un centre spirituel connu ; son calme enfin et son isolement, le font rechercher par les promeneurs.

 

Fraiture
 

Origine du nom

On trouve deux explications à l’origine du nom du village
- "Fractura", indiquant une séparation, un partage venant de "Fractus" pouvant désigner un terrain brisé, une fosse ou une carrière.
- "Freudûre", en relation avec le climat rigoureux de ce village haut perché (555 m).

St Patron

St Hilaire de Poitiers, patron de la paroisse est fêté le dimanche suivant le 14 janvier. Jusqu’au milieu des années 70, ce dimanche était également celui de la ’petite fête’. En ce jour particulier, la famille se réunissait pour déguster le boudin fraîchement préparé, suite au traditionnel abattage du cochon, et boire une petite goutte. Après avoir dégusté la ’tripe’, les jeunes restaient au village pour boire un verre, tandis que les parents jouaient aux cartes.
 

fraiture_ski1.jpg
 

 

Vie associative

Le village comporte un club de jeunes organisant les diverses festivités décrites plus bas et un club de mini-foot.
 

Festivités

Kermesse annuelle

La grande fête, en opposition avec la petite fête d’autrefois lors de la St Hilaire, se déroule le second dimanche suivant le 15 août. Celle-ci s’étale généralement sur quatre jours, du vendredi au lundi. Faute de participants, le traditionnel ’jeu de cartes’ du vendredi a été récemment remplacé par une marche nocturne. Le samedi soir voit la piste du chapiteau, monté pour la circonstance, onduler au rythme de la musique et des danses. Dimanche et lundi, les enfants s’en donnent à cœur joie sur le carrousel et à la pêche aux canards. Les amateurs du jeu de quilles ne sont pas en reste non plus, enchaînant les parties tout l’après-midi. La kermesse se termine par le sacro-saint barbecue, lieu de retrouvailles pour les anciens du village.

Grand feu

Bien qu’étant une tradition assez ancienne, le brûlage du ‘bonhomme hiver’ n’a repris que depuis une dizaine d’années. Autour du feu, l’occasion est belle de partager un petit verre de peket... La soirée se termine au local des jeunes, où Matoufé ou grosse soupe sont servis selon l’année.

Noël à la Grange

"Noël à la Grange" a lieu tous les ans le dimanche avant Noël. Ce marché de Noël voit son succès grandir chaque année. 

Au menu : Une quinzaine de granges ouvertes au public ; animations dans le village ; artisanat ; restauration typique ardennaise ; boissons régionales.

Si vous êtes artisan de métier de bouche ou de bricolage, ou encore si vous connaissez des personnes passionnées par un artisanat quelconque, n’hésitez pas à nous contacter ! bm9lbGFsYWdyYW5nZUBnbXguY29t

Attraits touristiques

- Piste de ski de la Baraque de Fraiture

- Nombreux sentiers balisés pour balade à pied ou à VTT.

- Un meublé de tourisme :

  Capacité : 2 à 4 pers - TEL/FAX : +32(0)4/367.21.31

- Gîtes de vacances :

  Capacité : 2 gîtes ( 1 pour 26 pers et 1 pour 24 à 26 pers) - TEL/FAX : +32(0)4/367.21.31 Capacité : 4 gîtes ruraux ( 2 épis) 4 et 8 personnes + 3 appartements
  8 personnes - TEL : +32(0)80/41.86.57 (+ salle de banquet, 50 pers.)
 

Patrimoine historique

Église et cimetière

La présence d’une chapelle est attestée dans différentes archives dès 1604. La nef de l’édifice actuel date de 1763 et le linteau de la porte est daté de 1830. Suite aux dégâts la seconde guerre mondiale, une restauration a été effectuée en 1957. L’église se distingue notamment par un clocher en forme d’obus. Le village a obtenu le statut de paroisse en 1808. Henri-Joseph Lecart (Grand-Menil) en fut le premier desservant.

Le cimetière ceinturant le bâtiment comporte 5 pierres tombales de la 1ère moitié du 19ème siècle (dont une signée Piette, Ottré) et 17 croix en schiste du 19ème siècle.

Chapelle

Située dans le haut du village, la Chapelle de Notre-Dame des 7 Douleurs fut construite en 1910 suite à un don de la famille Laurent. On peut y admirer une Vierge en bois sculpté, réalisée et offerte par Monsieur William, suite au vol de la statue initiale.

Croix

On trouve une remarquable croix d’intercession en schiste ardoisier datée de 1811 adossée à la maison dite ‘Delhaye’. Cette croix est frappée d’un Christ entre deux chandeliers, avec un pied d’ailerons accusés. Le socle est frappé de Notre-Dame de Luxembourg entre deux chandeliers, avec l’inscription ‘Notre-Dame Consolatrice des Affligés’. Cette croix vicinale a été classée le 9/12/1991.

Maisons anciennes

On trouve dans le village plusieurs fermes du 19ème siècle (Maisons Lorcé, Gilles, Remy (actuellement Gérard), ...). La ferme de la famille Léonard-Bosquée (transformée en gîte) est quant à elle datée de 1792.

Ancien site du village

Là où était auparavant situé le village, il existe un étang alimenté par une fontaine qui ne tarit jamais, la fontaine St Hilaire. Elle paraît sortir d’un amas de décombres, dans un vallon bien abrité. On y a retrouvé une cave et les assises d’une habitation, ainsi qu’une certaine somme d’argent, enfouies dans le sol. Ce lieu a également abrité le "Moulin Choque", aménagé depuis en résidence secondaire.

Lieu-dit Thier de la Forge

Non loin du site original du village, au lieu-dit Thier de la Forge, ont été retrouvés des résidus de fer et de verre, ce qui porterait à croire que l’industrie y a été florissante, avec la présence d’une fonderie de fer et d’une fabrique de verre.

 

Goronne
 

Goronne a gardé un environnement où l’agriculture reste la marque dominante : vastes prairies et grands troupeaux y occupent le paysage.

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Grand-Halleux
 

Les pépinières y sont, depuis longtemps, un trait caractéristique du paysage. Quelques maisons y ont gardé l’aspect ancien et l’environnement agricole ne manque pas de sérénité.

 

Hébronval
 

Hébronval, que l’automobiliste traverse en coup de vent, mérite pourtant que l’on s’y arrête pour se remplir les yeux de ses paysages apaisants dominés par la réserve naturelle de Colanhan toute proche.

 

Joubiéval
 

Joubiéval fut aussi le siège de carrières, mais ici, la pierre servait à des usages "spéciaux" : tables de billards, tableaux électriques, bacs à produits chimiques. Il n’en reste, hélas, que le souvenir.

 

La Comté
 

La Comté, posée sur un replat exposé plein sud, mérite une visite : quelques maisons y ont gardé leur aspect d'antan ; voyez donc ces murs épais en moellons plats de schiste, voyez ces encadrements de portes et de fenêtres en schiste taillé, goûtez la paix qui se dégage de l’ensemble.

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Neuville
 

Neuville est encore un de ces villages qui ont vécu de la pierre. Ici, on travaillait "aux carrières" de père en fils. L’église, d’ailleurs, est un parfait exemple de la qualité des matériaux locaux.

 

Ottré
 

Ottré a longtemps vécu de l’extraction : la pierre à rasoir, le manganèse, le schiste dans lesquel on taillait de si belles croix, exemples achevés d’un art populaire typiquement régional. Son nom est maintenant connu des géologues du monde entier : l’ottrélite a, en effet, été découverte ici. ottrelite.jpg

 

Petit-Thier
 

Petit-Thier, entre le Grand-Bois et le massif de Mont-le-Soie propose toujours le calme de ses chemins et la douceur de plusieurs vieilles maisons.

 

Provedroux
 

Provedroux, haut perché entre le val de Salm et celui de Ronce, nous semble un peu hors du temps. N’y voit-on pas la demeure d’un entrepreneur qui fut au service de Louis XIV ? Ce village n’abrite-t-il pas une maison de repos pour personnes âgées ? Ce calme ne procure-t-il pas cette qualité de vie, si rare et tellement recherchée aujourd'hui ?

 

Regné
 

Regné est un village battu par les vents, et recouvert de neige plus souvent que d’autres. Ses paysages sont aussi apaisants que son hiver peut être rude. Ici, les gens ont peiné sous terre pour extraire le célèbre coticule, ou pierre à rasoir, dont la région de Vielsalm possède les seuls gisements connus.
Pour plus d’informations sur le village voir www.regne.be

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Rencheux
 

Rencheux hélas, n’est plus ce qu’il était. Une réforme des forces armées lui a enlevé le 3e Chasseurs Ardennais. Adieu les bérets verts à chaque coin de rue, adieu l’animation permanente. C’est un peu comme si on lui avait ôté son âme ! Heureusement, l’enseignement est, lui, toujours bien là !

 

Salmchâteau
 

 Les Comtes de Salm
Quelques notes historiques concernant le château de Salm.
Au Moyen-Age, le château des Comtes de Salm, fortement fortifié pour résister aux attaques des ennemis s’érigeait fièrement à Vielsalm , face à l’église actuelle.
Il fut détruit lors d’une attaque ( en effet, de nombreuses guerres sévissaient alors entre seigneurs de l’époque). Un comte de Salm en fit reconstruire un autre à Salmchâteau ( près de Vielsalm ) sur un promontoire rocheux. Il n’en reste aujourd’hui que les deux tours d’entrée et de nombreuses ruines magnifiquement restaurées.
La vie au Château
- Pour le Comte : - chasse – tournois – banquets – guerres fréquentes contre les autres châteaux ennemis, nombreux dans la région. Cela nécessitait la présence au château de plusieurs chevaliers pour le surveiller et le défendre.
- Pour la Comtesse – vie fort monotone – travaux de broderie – réunions avec les épouses des chevaliers – participation aux banquets – attente de l’époux au retour de la guerre.

 

Vielsalm
 

Vielsalm, aux allures de petite ville, est depuis longtemps le chef-lieu de la commune et du canton.

Elle est aussi le siège d’un doyenné. Ce rôle, elle le doit à l’histoire : le premier château des comtes de Salm y fut construit, la paroisse est très ancienne et, tout naturellement, après la révolution française, les nouvelles structures s’y sont installées.

On peut y remarquer le quartier ancien, proche de l’église ; le plan d’eau créé en amont d’une digue barrant le cours du Glain. A ce propos, il est bon de savoir que, le plus souvent, cette rivière torrentueuse est appelée "la Salm". Pourquoi ce double nom ? C’est tout simple, le Glain passe à Salm la vieille (c’est le nom ancien de Vielsalm) c’est donc ... l’eau (ou rivière) de Salm, de là à l’appeler Salm, il n’y a qu’un pas, franchi par erreur au l9e siècle.

On trouve d’autres choses à Vielsalm :

- quelques maisons en matériaux traditionnels (ardoise et schiste) ;

- des éléments anciens dans l’église St-Gengoux (une dalle funéraire du 14e siècle : elle recouvrait la tombe d’un comte de Salm, sans doute Henri VI ; d’autres dalles, en schiste, des 18e et 19e siècles ; des fonts baptismaux gothiques en arkose) ;

- les cadrans de l’horloge de l’église avec leurs chiffres remplacés par des figures en métal doré ;

- une copie de la grotte de Lourdes ;

- la fontaine Saint-Gengoux, réputée miraculeuse ;

- le kiosque du parc communal : exemple unique d’architecture "Expo 58" ;

- la gare, construite sur le modèle de l’Est français ;

- l’Archéoscope du Pays de Salm : une manière très agréable de prendre contact avec la région ;

- le musée de l’Histoire et de la Vie salmiennes ;

- la glacière d'Hermanmont où l’on stockait, pour l’été, la glace de l’hiver.

 

Ville-du-Bois
 

Ville-du-Bois fut longtemps le village le plus important de la commune. Il a gardé quelques maisons typiques aux toits en pente faible.

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